Pas moyen de retrouver une citation en anglais vue dans (?) Linkedin, voilà une semaine, dix jours (quinze ?) tout au plus, qui disait, en gros :
Il n’est pas vain de vouloir faire des choses compliquées car on doit alors nécessairement trouver des solutions nouvelles qui feront que l’on s’en trouvera plus mature et plus capable.
Moi, j’aime bien.
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Grâce à une notification de Linkedin, je découvre le professeur Philippe GABILLIET. Celui-ci met sa compétence au service de l’optimisation de notre réussite potentielle.
Pour cela il nous recommande de rester optimistes et favoriser la chance en appliquant quelques règles :
1️⃣ POSTURE DE VIGILANCE : avoir de la curiosité, sortir de sa routine de manière régulière, sortir de sa zone de comfort 2️⃣ MAGIE DU RÉSEAU : être en interaction avec les autres, devenir celui ou celle qui crée les liens, celui qui aide les autres à réussir 3️⃣ ÊTRE CONSCIENT QUE L’ON N’A PAS TOUJOURS DE LA CHANCE : utiliser son échec comme un tremplin pour rebondir sur autre chose. Ce qui implique que la vraie chance ce n’est pas ce qui nous arrive, c’est ce qu’on fait avec ce qui nous arrive. 4️⃣ ANTICIPATION : toujours avoir un projet d’avance, réfléchir à ce qui vient après, ne pas se contenter du statut quo.
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Focus est un mot anglais emprunté au latin qui veut dire foyer ou point, c’est le lieu où plusieurs choses se concentrent. Il est la racine du mot focalisation en français qui peut être synonyme de concentration.
C’est aussi le titre d’un livre de Daniel GOLEMAN qui a pour but de nous sensibiliser à l’importance de maintenir une grande capacité d’attention et de concentration afin de bien comprendre, mémorise, apprendre, organiser de bons rapports avec autrui…
Un livre essentiel pour optimiser notre relation au monde…
Il faut lire « Mathematica ». Ne serait-ce que pour y voir des phrases comme celle-ci (page 94), de Grothendiek :
« Craindre de tomber et craindre de marcher est une seule et même chose. Celui qui craint de se casser la figure est impuissant à apprendre à marcher. C’est quand nous restons assis sur notre cul que notre maladresse initiale se transforme en un handicap psychomoteur. »
Bon, à part ça, la thèse du bouquin, c’est qu’il n’y a pas d’un côté des gens naturellement doués pour les maths et d’autres pas : tout le monde peut y arriver, c’est une question de conviction et d’ouverture d’esprit à l’essence des maths…
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Il est à noter -et c’est un détail visuel et technologique important- que, alors que Hubble a encore une forme de tuyau -classique pour tous les télescopes précédents- JWST est libéré de cette enveloppe oblongue et présente ses miroirs -le principal et le secondaire- de façon nue dans l’espace, toutefois protégés du rayonnement solaire par un large écran afin de supprimer l’échauffement dû à la lumière de notre étoile et qui perturberait complètement le fonctionnement.
Une partie de l’équipe de réalisation, devant une maquette grandeur nature du télescope. .
La gestation et le lancement de ce prodige de technologie ont été narrés dans un documentaire diffusé sur Arte au milieu de l’automne 2022 et encore le 18 décembre et qui est de nouveau programmé pour le 16 janvier 2023 à 6h15. Ce condensé (53′, à voir absolument) des diverses phases de la réalisation est très émouvant car il rassemble de façon succincte et dense les étapes de conception-réalisation, les difficultés rencontrées et les moments de joie des équipes impliquées lors des instants de confirmation de succès de certaines phases critiques.
Premier champ profond obtenu par le JWST. Cette surface correspond à l’angle de vision d’un grain de sable tenu à bout de bras… La lumière émise par les objets célestes visibles sur la photo a été émise il y a PLUS DE 13 MILLIARDS D’ANNÉES et a voyagé depuis dans toutes les directions.
Le premier champ profond, obtenu en juillet 2022 d’une infime portion de l’univers (le JWST a une résolution finissime de 0,1 seconde d’arc) -où l’on ne voyait auparavant (même avec Hubble) quasiment rien et où apparaissent désormais quantité de galaxies– prouve l’infinie richesse de l’univers en objets célestes. Car un certain nombre des galaxies visibles ici -infime partie du Tout- contiennent chacune -comme celle dont fait partie notre Soleil- une ou plusieurs centaines de milliards d’étoiles (dont chacune peut être entourée d’un système planétaire plus ou moins complexe…).
La qualité des vues obtenues grâce au JWST devrait faire fortement avancer notre connaissance de l’univers.
Publié dansNature|Commentaires fermés sur Anniversaire : lancement du JWST, un an déjà !
En passant près de cette fleur de chardon, je remarque une petite chose accrochée et immobile… De très près, l’on voit qu’il s’agit d’une abeille morte, sans doute par épuisement ou de froid, et qui est restée piégée sur place alors que les crochets de ses pattes la maintenaient encore aux pétales.
Publié dansNature|Commentaires fermés sur Morte en plein travail…
J’étais arrivé à la conclusion que « L’ignorance ne peut pas se connaître (elle-même) » à quoi il m’a fallu ajouter « ni la bêtise ». Une formule pour expliquer la terrible raison pour laquelle certain.e.s peuvent se complaire dans un rapport au savoir médiocre et stupide. Mais pas forcément malheureux car, comme le dit un proverbe, on peut être imbécile et heureux à la fois.
J’ai donc lu (pages 88 et 89) avec ravissement le passage suivant de Pierre-André TAGUIEFF dans son livre LES THÉORIES DU COMPLOT (Que-sais-je? 2021) :
« D’autres problèmes d’interprétation se posent, qui s’ajoutent à ceux que posent les croyances fausses, en particuliers les problèmes liés au biais cognitif appelé »effet Dunning-Kruger » ou »effet de surconfiance » selon lequel les individus les moins qualifiés, n’ayant pas conscience de leur incompétence, surestiment leur compétence. On en trouve une formulation partielle quand Charles Darwin, dans La filiation de l’homme et la sélection liée au sexe (1871) remarque : »L’ignorance engendre plus fréquemment l’assurance que ne le fait la connaissance ». Le phénomène est celui de la méta-ignorance, c’est-à-dire de l’ignorance de l’ignorance, qui produit de la confiance en soi, voire de l’arrogance. La difficulté de reconnaître sa propre incompétence s’explique par une faible intelligence et un savoir insuffisant. Or, nombre d’entrepreneurs et de croyants complotistes sont à la fois ignorants, intellectuellement médiocres et sûrs d’eux-mêmes. Ils sont dénués du moindre doute quant à leurs capacités cognitives et à leurs connaissances, ce qui les rend imperméables à la critique et insensibles au ridicule »
Voilà brillamment résumé une des source majeures du comportement complotiste !
Publié dansSociété|Commentaires fermés sur L’origine des choses…
L’arbre (un résineux ?) a été coupé, puis il est resté couché sur place assez longtemps pour que son écorce, le bois étant mort, se décolle et tombe. L’humidité avait passé sous l’écorce et cela a permis le développement de micro-organismes qui ont modifié la surface du cambium (normalement de couleur sable, encore visible ici par endroits) en changeant sa couleur. De surcroit, la surface du bois commence à craqueler, ce qui va faciliter son imprégnation par l’humidité et donc sa décomposition. Vu à Cusset, secteur des Gouttes Noires, 17 novembre 2022.
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Glands au pied d’un chêne : la nature n’est pas économe, elle est prodigue ! Par exemple en produisant des milliers de graines pour garantir la reproduction. .
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J’ai donnée forme à mon indignation devant la stupide et répugnante agression de l’Ukraine par la Russie en éditant des objets qui permettent de manifester son soutien à l’Ukraine : badges, magnets, tee-shirts, bags.
Retrouvez ces objets dans mon petit site ukraine-libre.fr et achetez-en, si vous avez le courage d’afficher votre refus de cette violence.
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Ok, d’accord, on dit l’OMBRE d’un doute, mais ici le mot AILE me parait préférable. Vous allez très vite comprendre pourquoi.
Récemment, mon chat Zorro est apparu devant la porte-fenêtre avec un oiseau dans la gueule… Ma pensée immédiate : « Catastrophe, il a encore tué un oiseau !«
Mais comment lui faire comprendre que c’est MAL !?
En plus, il pose l’oiseau à l’entrée et s’en désintéresse immédiatement : il file à la cuisine, manger ses croquettes…
Je prends l’oiseau dans mes mains, j’essaye de le réchauffer. Ah, s’il pouvait revivre !… Mais non, il est froid et ne ressuscitera pas.
Mais ce petit drame me donne à réfléchir : Et si cet oiseau était l’un de ceux qui viennent -trop souvent- se heurter à la vitre et dont je ne sais pas ce qu’ils deviennent ensuite ? Zorro s’est peut-être contenté d’en ramasser un et l’apporter ?
On a pu estimer combien d’oiseaux sont tués chaque année par des chats, en France et dans d’autres pays, mais sait-on combien se tapent dans les vitres et en meurent. Et sait-on quelle proportion des oiseaux capturés par les chats -et apparemment tués par eux- ils représentent ?
Et comment faire pour que moins d’oiseaux heurtent les vitres et en meurent ?
Publié dansNature|Commentaires fermés sur L’aile d’un doute…
Partout dans le monde le respect humain est en danger face aux intérêts insatiables d’individu dénués d’empathie et donc physiquement et moralement dangereux.
Il est invraisemblable qu’après avoir commencé une guerre de destruction d’un pays voisin, la Russie soit encore admise dans le Conseil de Sécurité de l’ONU. La moindre des choses serait de l’en exclure immédiatement, parmi de multiples autres mesures de pénalisation.
Publié dansSociété|Commentaires fermés sur Démocratie en danger
En allant au jardin m’occuper des composteurs alors que le temps était très doux (soleil et pas de vent, d’où 8 à 10° C) j’ai vu mes abeilles sortir abondamment de la ruche. C’était comme un vol nuptial qui tournoyait devant la ruche. Pourtant, en hiver il n’y a pas de faux-bourdons. Puis, petit à petit le calme est revenu, avec simplement de l’entrée-sortie à rythme modéré.
Après le rush, le calme revient.
C’est très réjouissant de voir qu’au milieu de l’hiver la colonie est bien tonique, alors que l’an passé à la même époque un calme incroyable me fit craindre que tout était crevé. (même passer un petit bâton dans l’entrée de la ruche n’avait déclenchée aucune réaction, aucune sortie de défense !).
Publié dansApiculture|Commentaires fermés sur Abeilles : la bonne surprise !
Le compost : un élément important pour améliorer la qualité de la terre du potager… et des balconnières !
Mais nos épluchures et quelques déchets du potager ne produiront pas grand chose. Il faut collecter d’autres matières et en quantités suffisantes : herbe des tontes de la pelouse, feuilles mortes et tout ce que l’on peut trouver de compatible. Mais pas n’importe quoi : les plantes aux fibres des tiges trop dures (par ex. ortie, consoude) seront une gêne car beaucoup trop longues à faire disparaître dans la masse. Et séparer les feuilles des tiges est trop laborieux : il y a tant d’autres choses à faire dans le jardin !
Les feuilles d’arbres peuvent être un bon apport si elle ne sont pas trop dures (comme le sont celles du chêne ou pire, du charme). Certaines peuvent aussi porter des maladies. Pas simple de trouver la masse de matière nécessaire, d’autant que tout cela va réduire considérablement en volume au fil de la fermentation.
Voilà un bon moment que ça dure…
J’ai commencé avec l’herbe de tonte du stade de foot. Non traitée au dire de l’employé communal et dont je disposai en quantité considérable car un gros stock gisais à l’écart du terrain : les tas de coupes de plusieurs années déjà fermentées : trop bien ! j’en ai fait des aller-retours avec ma brouette augmentée en volume par un grand sac (env. 0,2 m3) à feuilles !! Cela complété de sciure de chêne d’une scierie proche. Mais c’est fini : la commune a acquis une nouvelle tondeuse qui broie plus finement l’herbe et la mulche sur le terrain. Mais j’ai trouvée une alternative sous la forme de feuilles de tilleuls, assez abondants autour de chez moi : 16 arbres dans le square communal + 8 dans une propriété voisine, dont un très grand. Depuis 2 ans j’en ramasse tout ce que je peux. Cette année environ 16 sac, soit 3 m3 de feuilles tassées. (Et voilà, par le calcul je retombe sur la contenance des 3 composteurs que je viens de remplir… ;-))
Pour absorber tout cela, j’avais construit un composteur, puis un deuxième, puis deux autres encore, avec des palettes de récupération. Résultat : 4 composteurs d’environ 1 m3 chacun.
Voilà, c’est fait et mes composteurs 1, 3 et 4 sont pleins, raz-la-gueule :
Composteurs 4 (à gauche) et 3 (à droite), avant la fin de leur remplissage (bombé fortement par dessus le bord : de toutes façons, ça va descendre !
Le composteur 2 contient 1/2 mètre-cube de compost prêt à utiliser.
Ces feuilles vont, bien sûr, se tasser au fil du processus de compostage, et j’attends les tontes de pelouse du printemps pour compléter au fur et à mesure.
J’avais dans le composteur 4 (à gauche), 1/2 m3 de compost en cours, dont j’ai réincorporé moitié aux nouvelles feuilles des composteurs 1 et 3 (comme on le voit à droite avant étalement par couches successives) et moitié (le dessous) était prêt à utiliser (la bonne surprise) et est passé dans le composteur 1 en attente d’usage.
Et dans le jardin ?
Par ailleurs et pour l’immédiat, j’ai -en plus- étalée une épaisse couche (10 cm) de feuilles mortes sur la surface du potager que j’avais bêchée en fin d’année, ce qui permet de ne pas laisser la terre nue et de lui incorporer des feuilles en cours d’humification. Terre vivante. Par un nouveau bêchage avant plantation, je mélangerai à la terre ces feuilles qui ne seront alors pas encore assimilées.
Un carré côté SudUne longue bande côté Nord.
Enfin, je viens d’introduire en cuisine un deuxième seau de déchets alimentaires, cette fois pour les non-compostables : épluchures d’agrumes, coquilles de noix, carapaces de crevettes, coquilles d’huitres, peau des fromages,… que je jetterai désormais dans le recoin des mauvaises herbes arrachées et autres plantes à tiges dures, par ex. Car cela me contrariait d’envoyer toutes ces matières à l’incinérateur du traitement des ordures.
Publié dansJardin, Potager|Commentaires fermés sur Compost
Album sorti en 2010 mais dont je n’ai eu connaissance que récemment (merci la Médiathèque de Vichy !). Easy listening music, qui fait du bien. Il y a quand même quelques morceaux que je zappe…
Je connaissais M. Herbert depuis assez longtemps, et son singulier album »Around the house », qui mélange la musique et des sons de la vie quotidienne (en cuisine !!). One One est assez différent, moins radical, mais très intéressant question ambiance.