Ok, d’accord, on dit l’OMBRE d’un doute, mais ici le mot AILE me parait préférable. Vous allez très vite comprendre pourquoi.
Récemment, mon chat Zorro est apparu devant la porte-fenêtre avec un oiseau dans la gueule… Ma pensée immédiate : « Catastrophe, il a encore tué un oiseau !«
Mais comment lui faire comprendre que c’est MAL !?
En plus, il pose l’oiseau à l’entrée et s’en désintéresse immédiatement : il file à la cuisine, manger ses croquettes…
Je prends l’oiseau dans mes mains, j’essaye de le réchauffer. Ah, s’il pouvait revivre !… Mais non, il est froid et ne ressuscitera pas.
Mais ce petit drame me donne à réfléchir : Et si cet oiseau était l’un de ceux qui viennent -trop souvent- se heurter à la vitre et dont je ne sais pas ce qu’ils deviennent ensuite ? Zorro s’est peut-être contenté d’en ramasser un et l’apporter ?
On a pu estimer combien d’oiseaux sont tués chaque année par des chats, en France et dans d’autres pays, mais sait-on combien se tapent dans les vitres et en meurent. Et sait-on quelle proportion des oiseaux capturés par les chats -et apparemment tués par eux- ils représentent ?
Et comment faire pour que moins d’oiseaux heurtent les vitres et en meurent ?